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L'impact de la notion

  • Photo du rédacteur: Mickael M
    Mickael M
  • 6 avr.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 11 avr.



La haine n’est pas une différence que l’on devrait respecter.

La haine n’est pas une idée.

La haine n’est pas un parti.

Et la haine ne doit plus devenir la loi.


La haine est une densité émotionnelle résultant d’une défaillance de la formation du jugement; le résultat d’une corruption de la conception.

Vous voyez parfois des criminels, et des dits extrémistes, n’est-ce pas.

Vous vous demandez ce qui s’est produit, à quel instant, comment, pourquoi ces petits bébés sont devenus des adultes bouillonnants de rage et débordants de haine face à autrui, pour la peau, le lieu de naissance, la langue etc.

Mais personne n'est né en criant :"La France au français!"

Nous étions tous de la même innocence avant l’impact, avant l’oubli d'un droit fondamental.

Nous avons tous le droit d'être ici, vivants et l'identité réelle de chacun doit être protégée.

Mais si cette notion d'identité est définie comme l'ensemble des informations découlant de l'observation des personnes et de ce qui leur est physiquement relatif, alors cela conditionne l'individu qui intègre cette notion pour ressentir de l’inconfort face aux autres, les rejeter.


Comment?


Protéger une notion c'est préserver l’intégrité des critères et éléments qui la composent: les garder en l'état : les préserver de la variation qui est alors interprétée comme une dégradation de cet état.

Si vous définissez l'identité comme blond, yeux verts...vous programmez chaque personne pour concevoir et ressentir la présence de ceux qui ne correspondent pas à ces critères comme quelque chose de déstabilisant, dérangeant, négatif.

Vous programmez les enfants à grandir en pensant que ces critères constituent des bases qui doivent être protégées: qu'ils doivent se battre pour empêcher toute rencontre, tout métissage qui pour eux sonnera comme la disparition de leur identité.

Alors ils luttent avec rage pour ce qui leur semble légitime; ils parlent et bougent pour lutter contre... l'existence des autres, contre la diversité qui est la variation ; pour que ces autres n'aient pas les mêmes droits, qu'ils n'aient pas la même vie ; comme s'ils étaient moins humains : privés du droit de respirer, de manger, d'être libres, heureux et en bonne santé.

Il y a une raison a tout cela : quelque chose corrompt la conception, la rend incompatible avec la perception.

Cette incompatibilité entre la perception et la conception génère mécaniquement un message désagréable, et avec, le besoin de remettre les choses en place...de se débarrasser des éléments, ou de l'ensemble qui poserait problème.


Une chose détruit l’entente, le partage et la paix qui étaient naturellement : la notion lorsqu'elle est défaillante.

Nous pouvons empêcher la haine de corrompre, remplacer le jugement des générations futures, et faire émerger la première situation de paix.

Pour cela, il est nécessaire de corriger, redéfinir les notions et définitions importantes, de façon à ce qu'elles respectent toutes et enfin notre droit à tous d'être ici, vivants.

 
 
 

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