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Du sentiment à ses implications

  • Photo du rédacteur: Mickael M
    Mickael M
  • 7 avr.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 11 avr.


Un sentiment simple implique depuis très longtemps d'innombrables personnes dans toutes sortes d'actions ; ainsi que dans un perpétuel combat pour l'égalité morale et légale; partout dans le monde.

Un sentiment simple dont l'évocation est aujourd'hui interprétée à tort comme un signe de faiblesse ou une simple perte de temps pour inadapté social.


Gardez à l'esprit que je ne prétends pas avoir inventé l'amour, je ne fais que tenter d'expliquer comment un sentiment peut impliquer la conception de l'individu l'expression, sa substance.


Lorsque notre attention est orientée vers quelque chose, nous sommes capables de percevoir les mouvements des éléments qui vont dans sa direction.

Lorsqu’il s’agit de notions, cela se traduit par le discernement de tout élément ou mécanisme qui aille a son encontre.

Emerge la nature de la volonté selon ce que nous éprouvons pour le sujet.

Le sentiment définit alors la perspective, la priorité, le sens, le but de ce que nous exprimons, et manifestons ; tant que l'objet de l'attention reste inchangé.


La description d’un sentiment induit donc des implications, des façons d’interagir avec les éléments de la réalité, afin de matérialiser l’équilibre contextuel en accord avec le sentiment donné ; tout en faisant de l’objet de l’observation la priorité.

Et cette priorité, le sentiment, les implications, le but, et la communication de ce qui les lie, une définition : un sentiment qui lie l’humanité au travers le but de son existence.


L’amour, c’est avoir l’attention orientée vers les autres, vers la communication ou la manifestation de leurs besoins, c’est être à l’écoute des autres.

L’amour implique l’aspiration à protéger les autres de la souffrance, du besoin, de l’injustice et de l’abandon.

L’amour est la volonté de voir et savoir les autres en sécurité ; voir et savoir leur apaisement, leur contentement, la joie, le sourire, le rire, le bonheur. L’amour est un bonheur et un émerveillement provoqué par la seule existence des autres, leur présence, leur chaleur.


Et si l'attention n'est ni détournée ni corrompue, la profondeur, l'intensité du sentiment se traduit alors par l'émergence d'une priorité sur toute chose dans la perspective , même en rendant impossible ce qui est incompatible avec le sentiment :


L’amour est le sentiment qui empêche de :

-concevoir quoi que ce soit d’autre que la vie comme important ou sacré.


-considérer quoi que ce soit d’autre que la protection de la vie, l’apaisement et les manifestations du bonheur comme un but.


-tolérer la continuité de la souffrance en attendant que quelqu’un vienne peut-être un jour.


-quitter ce monde sans avoir tout dit et tout fait pour protéger la vie, qui nous émerveille.


La toute première chose qui apparaisse, est le droit de chacun d'être ici, vivant, d'être là, continuellement, en soi-même.


Nous avons tous le droit d'être ici, vivants, de parler, bouger, communiquer avec les autres par les moyens dont nous disposons et interagir avec les éléments de la réalité.

Alors l'explication/la défense de ce droit ne consiste à décrire le schéma, système, élaboré par les implications du sentiment.



 
 
 

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